Votation citoyenne


Voici les points de vote sur le statut de La Poste qui seront tenus par le cellule Montpellier Nord Ouest du PCF :
Lundi 28 septembre à La Poste de l'avenue de la Justice, à partir de 9h00
Mercredi 30 septembre à La Poste de St-Clément, à partir de 14h00
Samedi 3 octobre à La Poste de St-Clément, à partir de 9h00
Samedi 3 octobre à La Poste du Petit Bard, à partir de 9h00

Venez voter nombreux

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L'école en danger

L’attaque du gouvernement contre l’école, de la maternelle à l’université, est massive. Durant l’année scolaire des milliers d’enseignants, de lycéens, d’étudiants, de parents se sont mobilisés contre la suppression massive d’emplois dans l’éducation et la Recherche et contre les nombreuses réformes mises en œuvre par Sarkozy et ses ministres qui touchent aux fondamentaux du service public national d’éducation, et de formation : fin de la sectorisation scolaire, fichage des élèves, réforme de l’école élémentaire, du collège au lycée sur la base d’une refonte des programmes, autonomie et mise en concurrence des établissements… C’est l’adaptation de l’école aux logiques du capitalisme mondialisé.

A l'inverse des projets de la droite, nos propositions impliquent de changer l'école, non pour la réduire, mais pour la relancer, pour lui faire franchir un nouveau cap, vers une réelle démocratisation. Il est indispensable de mettre en place un plan de lutte contre les inégalités. L'État doit réinvestir dans l'éducation.


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Contre la privatisation de La Poste


La Poste est en danger. La dégradation du service public se poursuit depuis plusieurs années, marquée par le manque de personnels dans les quartiers populaires des villes et la fermeture de bureaux ruraux, ainsi que la transformation du service financier de La Poste en banque postale avec la banalisation du livret A.

Le gouvernement a maintenant l’intention de privatiser La Poste en en faisant une société anonyme dont le capital sera introduit en bourse.

Cette réforme sonnerait le glas du service public postal, c’est-à-dire de l’un des services publics essentiels à l’exercice réel des droits des citoyens, en l’occurrence du droit à la communication. Nous devons l’empêcher, car nous voulons que ce droit fondamental puisse continuer à s’exercer avec des garanties qu’une gestion privée ne peut apporter.

De quoi s’agit-il concrètement ? De ne pas sacrifier davantage la présence des bureaux de poste dans les zones rurales et les quartiers populaires, partout où l’activité de La Poste ne peut dégager une rentabilité importante. D’améliorer les conditions de distribution du courrier et d’accueil des usagers, et non de les moduler en fonction de l’intérêt financier des zones couvertes. De garantir le prix unique du timbre, de pérenniser la distribution six jours sur sept, supérieure aux obligations européennes. De permettre aux foyers les plus modestes de trouver encore un partenaire bancaire au sein de La Poste, attentif à leur situation.

La privatisation de La Poste ne va pas améliorer la qualité du service rendu, mais au contraire la dégrader et rendre celui-ci beaucoup plus inégalitaire.

Nous nous opposons donc vigoureusement à cette privatisation. Nous demandons que le gouvernement ouvre un grand débat public sur les missions de La Poste et sur l’amélioration du service rendu en réponse aux besoins de la population, ainsi que sur les nouvelles formes de gestion qui permettront de démocratiser les services publics en impliquant davantage les représentants des usagers, des salariés et des élus.

Nous appelons la population à participer massivement à la votation citoyenne sur l'avenir de La Poste qui se déroulera le samedi 3 octobre 2009.


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